ali a tort.
Le fauve a frappé, il m'a pris pour une gazelle. J'ai plus rien à porter sur les épaules, il m'a tiré une balle dans chaque épaule, un trou pour chaque phrase. il m'a dit, je ne sais plus quoi, mais ça a fait mal à travers ma carapace. Pas des larmes de crocodile non. Des larmes d'alligator. Des larmes qui de dissolvent vite dans la vase, à peine le temps de les voir, il faisait nuit en plus. Des larmes qui n'ont pas lieu d'être, parce que je ne t'aime pas, parce que tu ne m'aimes pas, on aime juste être à deux, l'électricité de nos corps qui se frôlent occasionnellement régulièrement. C'est ça qu'on partage, et ça vaut, selon moi, autant que de l'amour. car c'est un amour déguisé, plus léger, je suis comme des grains de sucre dans son café. t'es imbuvable et tu as tort.