3 juillet 2010
J'aurais pu mourir dans son étreinte comme dans
J'aurais pu mourir dans son étreinte comme dans un étau de velours. Il me tenait comme on tient un oiseau au creux de ses mains.
La nuit était, puis le jour était. Puis tout avait changé, pendant que les oiseaux de petit matin chantaient leur petite vie. L'herbe a pris feu, l'air est devenu coton. mes flancs soulevés de rires, les secondes se sont perdues quelquepart.
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